Il y a plus de six ans, le 22 septembre 2017, je pouvais enfin présenter l’Original Prusa i3 MK3 au monde. Nous la préparons dans notre cuisine de développement depuis un certain temps et nous avons réussi à la remplir de nouvelles fonctionnalités impressionnantes auxquelles personne n’aurait pu s’attendre. Plaques d’impression amovibles, power panic, drivers Trinamic 2130 avec prise en charge de 256 micro-pas, capteur de filament laser, fonctionnement incroyablement silencieux… Personne n’avait cela à l’époque.

La MK3 a transformé le monde de l’impression 3D grâce à ses innovations et elle est devenue le produit clé qui a permis à notre entreprise de se développer et de vous proposer de nombreuses autres choses intéressantes – comme PrusaSlicer, les matériaux Prusament, l’Original Prusa MINI, la XL, Printables.com et finalement le successeur de la MK3,la MK4.

Nous avons lancé la MK4 il y a un an, mais la demande pour la MK3S+ est restée si forte que nous avons continué à la fabriquer pendant encore un an et avons publié plus de mises à jour du firmware. Il s’agit vraiment un cheval de trait de l’impression 3D qui ne cesse de fonctionner.

Et maintenant, il est temps de lui dire au revoir chaleureusement. Nous cesserons de proposer le kit d’assemblage MK3S+ sur notre boutique en ligne le 29 février 2024 et les imprimantes assemblées seront disponibles uniquement jusqu’à épuisement des stocks.

Un de mes clichés préférés de la MK3, du court métrage d’UMPRUM et AMU

« L’imprimante 3D la plus importante »

Quelques mois seulement avant le début de la production de la MK3, nous avons déménagé toute l’entreprise dans un nouvel emplacement et notre équipe a commencé à s’agrandir de façon folle. Je voyais tellement de nouveaux visages chaque jour, tout changeait à la vitesse de la lumière. C’était une période incroyablement excitante. Nouvelle ferme d’impression, nouveaux halls de fabrication, nouveaux bureaux. Pour les nouveaux arrivants, c’était probablement comme visiter Poudlard pour la première fois – tout bougeait constamment. Ce qui était une salle de réunion l’après-midi est devenu le bureau de quelqu’un le lendemain matin. Le reste du monde appellerait cela « un environnement de startup », mais ici tout le monde l’appelait « Prusa punk » et je pense que c’est une bien meilleure description. 🙂

Et au milieu de tout cela, nous avons mis la touche finale à la MK3. Nous vivions pratiquement au bureau et travaillions jour et nuit sachant que nous avions entre les mains quelque chose qui allait ébranler tout le marché de l’impression 3D de bureau. Avec le recul, il est presque incroyable de voir tout le chemin parcouru ces dernières années. Nous sommes passés d’une entreprise basée dans un garage à quelque chose de beaucoup plus organisé et efficace. Vous trouverez ci-dessous une vidéo que nous avons enregistrée il y a cinq ans et vous pouvez la comparer avec la visite récente de 2024 en lien plus loin dans cet article – quel changement !

 

Durant le développement, nous avons eu la chance de recevoir énormément de retours grâce à la MK2, donc quand nous avons commencé à penser à la MK3 (ce qui était en fait assez peu de temps après la sortie de la MK2), nous avions une longue liste de tout ce que nous voulions ajouter. . La MK3 n’est donc pas arrivée simplement parce que nous pensions que nous devions sortir une nouvelle machine, mais parce que nous avions besoin d’une nouvelle machine. De nombreuses demandes de fonctionnalités provenaient de l’intérieur de l’entreprise.

Par exemple, depuis le début, nous avions une ferme d’impression, mais beaucoup plus petite qu’aujourd’hui. Je l’ai dit à plusieurs reprises et je le répéterai volontiers : nous concevons nos imprimantes aussi pour nous-mêmes. Vous trouverez ci-dessous la vidéo de la visite de l’usine de 2024 dans laquelle nous vous emmenons dans les coulisses et vous montrons qu’il n’y a pas beaucoup d’entreprises qui mettraient nos imprimantes sous un tel stress que nous. Et cela montre vraiment les progrès que nous avons réalisés !

Revenons au développement de la MK3 : lorsque nos opérateurs de la ferme se sont plaints du fait que retirer chaque jour des centaines d’impressions du plateau chauffant était assez fastidieux, nous avons commencé à développer nos plaque d’impression amovibles emblématiques. Oui, peut-être que vous ne vous en souvenez pas, mais la MK2 (comme toutes les autres imprimantes de l’époque) avait un plateau chauffant avec une surface imprimable, et non des plaques d’impression amovibles comme les nouvelles imprimantes. À l’époque, il était courant d’imprimer sur une plaque de verre. Nous avons inventé les plaques PEI poudrées, qui sont désormais utilisées par l’ensemble de l’industrie. Inutile de dire qu’elles sont devenus un succès instantané, tout comme toute la gamme MK3. Je suis heureux de voir les plaques d’impression amovibles et l’utilisation du PEI comme surface d’impression devenir la norme de facto sur presque toutes les imprimantes 3D actuelles. C’est une si belle amélioration de la qualité de vie que ma fidèle spatule en métal ne me manque vraiment pas.

Thomas Sanladerer a publié son test vidéo avec le titre « L’imprimante 3D la plus importante » et a commencé en disant que « [la MK3] fait tellement de choses qu’aucune imprimante 3D n’a fait. » Mais avant même que les tests puissent commencer à arriver, nous avons dû montrer l’imprimante au monde.

De Prague à New York

La MK3 a fait ses débuts publics à la Maker Faire 2017 à New York. L’événement était absolument génial, mais nous étions, bien sûr, assez nerveux : nous voulions montrer la MK3 sous le meilleur jour possible. Nous savions que le matériel était solide, mais il restait encore quelques problèmes à résoudre dans le firmware.

En septembre 2017, lorsque la Maker Faire a eu lieu, la MK3 était encore à deux mois de sa livraison et nous étions encore en train de corriger plusieurs bugs. En fait, quelques bugs ont été corrigés par mon frère Michal alors qu’il était dans l’avion de Prague à New York. 🙂 Il a passé les 11 heures de vol à travailler sur le code, donc quand il a atterri, la MK3 était prêt pour le show – et nous avons pu montrer ses fonctionnalités étonnantes, comme le capteur de filament ou le power panic.

J’ai même enregistré une vidéo de présentation très, TRÈS improvisée de la MK3 avec la caméra d’un téléphone et… oh mon Dieu, elle est un peu difficile à regarder. 🙂 Mais comme vous pouvez le constater, tout a fonctionné comme il se doit et les visiteurs ont envahi notre petit stand pour voir les nouvelles fonctionnalités, telles que le Power Panic, le capteur de fin de filament et la détection de crash – c’étaient des choses assez révolutionnaires à l’époque.

Au final, tout s’est si bien passé ! Nous avons reçu deux rubans Maker Faire Editor’s Choice et toute l’équipe était de bonne humeur. Il ne restait plus qu’à terminer le développement dans les huit prochaines semaines, à l’emballer et à l’expédier.

Juste à temps pour Noël

Nous avons commencé à expédier les premières unités fin novembre 2017. Dès le début, la MK3 a été conçue comme une imprimante disponible en deux variantes – comme une imprimante assemblée et comme un kit d’imprimante que vous pourriez assembler à la maison. Et c’était le kit d’assemblage qui a rapidement pris les devants et est devenu l’option préférée des utilisateurs. Pas étonnant. C’est comme assembler un des grands sets Lego ou plutôt comme construire son propre ordinateur – vous savez exactement comment cela fonctionne et où se trouve tout, comment mettre à niveau divers composants ou les remplacer. Cela peut paraître cliché, mais c’est vrai : le kit d’assemblage est le meilleur moyen de connaître votre imprimante 3D de fond en comble, et c’est aussi pourquoi nous continuons cette tradition même avec la nouvelle MK4.

(Vous pouvez regarder l’intégralité de la playlist vidéo d’assemblage du kit MK4 sur notre Chaîne Youtube)

Nous avons pu expédier près de 2 000 unités de la MK3 avant Noël, mais cela n’a couvert que les premières heures après le début des commandes. Nous étions alors 180 membres d’équipe et il était clair que nous devions en embaucher davantage. Beaucoup plus. Alors juste une petite soirée de célébration puis retour au travail !

Et tandis que notre équipe de fabrication était submergée par le nombre de commandes à honorer, l’équipe de développement avait encore du travail devant elle.

De mieux en mieux

L’une des choses dont je suis le plus fier est le fait que nous continuons à supporter et à améliorer nos machines même des années après leur lancement. Imaginez une perceuse sans fil recevant des mises à jour logicielles et matérielles. 🙂

Pour être tout à fait honnête, la MK3 aurait pu passer un peu plus de temps au four. Au niveau matériel, elle était géniale, mais le logiciel nécessitait un travail supplémentaire. Chaque imprimante 3D est un système composé de nombreuses pièces mobiles et constitue souvent un parfait exemple de l’effet papillon. Même une petite chose peut affecter l’impression d’une manière inattendue et libérer le véritable potentiel de tous les composants tels que les drivers Trinamic ou les moteurs pas à pas (et garder tout équilibré) était une tâche énorme. Au lieu de simplement proposer un modèle d’imprimante différent l’année suivante, nous avons décidé de continuer à améliorer la MK3 via des mises à jour logicielles et matérielles dans la mesure du possible. Et en fait, nous avons continué à le faire pendant six ans.

L’une des premières choses sur lesquelles nous nous sommes concentrés était la qualité globale des impressions. Au moment où la MK3 est sortie, la MK2 était une machine extrêmement bien réglée, elle avait de superbes profils d’impression, donc en comparaison directe juste après sa sortie, les résultats étaient en faveur de la MK2. Mais nous avons continué à publier de nouveaux profils d’impression et de nouvelles versions de firmware aussi vite que possible, et peu de temps après, la MK3 a pris les devants.

Il y avait des dizaines de changements matériels, petits et grands, au fil des ans – l’un des avantages de notre ferme d’impression 3D est que nous pouvons facilement améliorer les pièces en plastique, et c’est exactement ce que nous avons continué à faire au fil des années. Si vous placez la version de lancement de la MK3 à côté de la MK3S+ finale, vous vous rendrez vite compte à quel point les machines sont différentes.

C’est également l’une des raisons pour lesquelles la MK3 continue de recevoir de nombreux prix d' »imprimante de l’année », année après année. 🙂 La plupart des recommandations de « best of » sont arrivées même plus de quatre ans après le lancement, car nous avons continué à améliorer tout ce que nous pouvions. Nous avons continuellement lutté avec nos approvisionnements pour obtenir des lots de la plus haute qualité, et chaque fois que nous recevions des plaintes concernant certaines pièces, nous avons immédiatement commencé à chercher de meilleures alternatives. Je suppose que nous aurions pu publier une douzaine de versions de MK3 différentes pour signifier tous les petits changements, mais je préférais de loin garder les choses simples et mettre à jour le modèle vers la dernière version à la volée. Ce n’est que lorsqu’il y a eu des changements matériels assez importants que nous avons ajouté le « S » et le « + » pour faciliter la navigation dans les guides d’assemblage et de dépannage.

Et en parlant du manuel et des guides de dépannage : c’est un autre domaine où nous avons effectué des changements importants en fonction de vos commentaires. Comme je l’ai écrit, le kit d’assemblage était (et est toujours) l’option la plus populaire – au fil des années, nous avons constamment ajusté nos guides en fonction de vos commentaires, pour rendre le montage aussi simple et direct que possible. Si quelqu’un signalait qu’une certaine illustration manquait, nous allions de l’avant et la corrigions. La différence entre les kits d’assemblage MK3 et MK3S+ est assez grande.

Ce qui pourrait vous surprendre : de nos jours, de nombreuses personnes utilisent encore leurs anciennes MK2 et n’ont pas l’intention de les mettre à niveau : la simplicité des anciennes machines est parfois trop belle pour être abandonnée. Comme avec les vieilles voitures. Parfois, vous ne voulez tout simplement pas, ou n’avez pas besoin, d’une voiture qui ressemble davantage à un ordinateur sur roues, mais vous préférez avoir la bonne vieille sensation analogique avec un levier de vitesses et une direction hydraulique.

Et j’ai l’impression que la MK3 va dans la même direction que la MK2. Il existe des centaines de milliers d’imprimantes 3D MK3 dans le monde. Si vous n’avez pas besoin de vitesses plus élevées ou d’un volume d’impression plus important, vous n’avez peut-être même pas tant de raisons de procéder à une mise à niveau : vous pouvez placer votre MK3 dans une enceinte et la connecter à Prusa Connect qui transforme votre machine en une imprimante entièrement fermée, prête pour des fonctionnalités réseau avancées. Vous pouvez, par exemple, envoyer des G-codes sans fil à votre MK3 depuis votre navigateur web, la gérer à distance, regarder un flux de caméra et bien plus encore. Pour rendre le processus aussi simple que possible, nous proposons également des cartes Raspberry Pi sur notre boutique en ligne, nous avons préparé un certain nombre de guides et un article pratique avec un aperçu complet de Prusa Connect et de ses fonctions.

Et pour une augmentation considérable de la vitesse, il y a la peu coûteuse mise à niveau MK3.5, ou si vous en voulez plus, vous pouvez opter pour les mises à niveau MK3.9 ou MK4.

Développement mené par la communauté

La philosophie open source derrière la MK3 a permis à toutes sortes de passionnés du monde entier de bricoler l’imprimante de différentes manières.

Peu de temps après la sortie, les gens ont proposé des ajouts géniaux à la MK3, comme ces visualiseurs d’extrudeur vraiment sympas, mais aussi diverses pièces fonctionnelles pour expérimenter différentes configurations de refroidissement, la mise à niveau Bear par gregsaun, et bien plus encore. Nous poursuivons cette tradition et vous pouvez trouver les pièces imprimables pour toutes nos imprimantes sur Printables.com, vous pourrez ainsi imprimer des pièces détachées, mais également modifier l’imprimante à votre guise. Nous avons également eu beaucoup de plaisir avec la MK3 !

Beaucoup d’autres ont été intégrés dans les codes sources du firmware disponibles sur notre GitHub. Les programmeurs ont commencé à ajuster le code, à l’améliorer et à ajouter de nouvelles fonctionnalités… dans plusieurs cas, nous avons fini par embaucher ces programmeurs indépendants – c’est comme ça que des personnes comme leptun et wavexx ont fait partie de notre équipe et font partie des personnes clés qui vous apportent de nombreuses fonctionnalités intéressantes dans les récentes versions du firmware.

PrusaSlicer a grandi avec la MK3. En fait, la version sortie avec la MK3 s’appelait toujours Slic3r PE (Prusa Edition), dérivée du Slic3r original d’Alessandro Ranellucci. À l’époque, il était quasiment géré par un seul développeur. Dans les années qui ont suivi, l’équipe slicer s’est élargie à plus d’une douzaine de personnes qui ont complètement réécrit l’intégralité de la base de code de Perl vers C++ et ont apporté de nombreuses nouvelles fonctionnalités utiles qui sont généralement rapidement adoptées par les équipes travaillant sur les forks de PrusaSlicer. Saviez-vous que Slic3r n’avait pas quelque chose d’aussi basique qu’Annuler/Rétablir ? Nous l’avons ajouté dans une version majeure en mai 2019 avec de nombreux autres ajustements et améliorations. C’était peu de temps après que nous ayons pris la décision de renommer l’application en PrusaSlicer.

La machine qui a rendu les choses possibles

Alors que la MK3 est devenu l’outil préféré des makers du monde entier, les entreprises étaient un peu sceptiques à son sujet – après tout, elle était beaucoup moins cher que les machines auxquelles elles étaient habituées. Mais la situation a changé assez rapidement.

Nous avons interviewé Josué Lee, qui utilisait nos imprimantes 3D lorsqu’il travaillait sur des modèles pour Star Wars. Vous pouvez trouver les imprimantes MK3 au CERN, chez Skoda Auto, chez SpaceX, à la NASA, chez Volkswagen et dans bien d’autres lieux importants, des universités aux hôpitaux.

Au cours des dernières années, nous vous avons présenté de nombreuses histoires inspirantes provenant de pays du monde entier. Si vous ne les avez pas encore vues, consultez-les sur notre Chaîne Youtube.

Il est toujours incroyable de voir combien d’utilisations les gens ont trouvé pour cette machine. Lorsque vous utilisez un filament spécial léger, vous pouvez même imprimer un avion RC entier qui fonctionne étonnamment bien. Ce sont des choses qui ne cesseront jamais de m’étonner ! Et bien sûr, l’une des meilleures choses est que les imprimantes 3D vous offrent la possibilité de réparer et de restaurer les objets cassés au lieu de les jeter.

Au revoir, MK3 ?

Lorsque je me suis intéressé aux imprimantes 3D en 2009, seuls mon frère et moi avons travaillé sur nos machines dans un petit atelier pendant un certain temps. Rien que nous deux.

Huit ans plus tard, en 2017, la sortie de la MK3 fut un tel succès grâce à l’effort combiné de dizaines de personnes talentueuses. Alors que le développement et la fabrication de la MK3 touchent à leur fin, je voudrais remercier à tous ceux qui ont participé et contribué à donner vie à cette « petite machine qui pouvait ». Au fil des années, nous avons continué à suivre toutes sortes de projets rendus possibles grâce à la MK3 et cela a toujours été (et est toujours) quelque chose qui nous a motivé à aller plus loin. Notre équipe de développement s’est rapidement développée et de nombreuses personnes qui ont initialement acheté l’imprimante soit par curiosité, soit comme outil pour leur projet sont finalement devenues membres de notre équipe. Il y a des dizaines d’histoires merveilleuses derrière le développement de la MK3, mais je les garderai pour une autre fois.

Nous terminerons la production du kit MK3S+ le 29 février 2024 et nous continuerons à proposer l’imprimante assemblée jusqu’à épuisement des stocks (nous l’estimons à environ 2 mois). Cependant, nous continuerons à offrir un support pour la MK3S+ et nous conserverons les pièces de rechange dans notre entrepôt. Après tout, près de 100 000 de ces imprimantes sont encore sous garantie. Ainsi, même si notre production de la MK3S+ s’arrêtera, son histoire est loin d’être terminée. Encore plus avec les mises à niveau MK3.5 et MK3.9, qui font toujours techniquement partie de la gamme MK3. Il leur reste encore de nombreuses opportunités de briller.

Juste un petit récapitulatif :

  • L’Original Prusa MK3.5 est le moyen le plus économique pour doubler la vitesse de votre MK3S+ et ajoute de nombreuses fonctionnalités de la MK4, telles que la connectivité réseau native et un grand écran LCD coloré. Elle n’inclut pas le Nextruder avec le capteur de force pour une première couche toujours parfaite. Lisez les détails dans le récent article.
  • La mise à niveau MK3.9 contient tout de la MK4 sauf les moteurs (le moteur du Nextruder est inclus).
  • Enfin, la mise à niveau MK4 est le package complet – vous remplacerez presque tout sur votre imprimante. À l’époque de la sortie de la MK3, nos utilisateurs ont clairement exprimé leur souhait d’une mise à niveau complète MK2->MK3. Avec la MK4, nous l’avons rendu disponible dès le départ.

Si vous décidez de partager ce que vous préférez sur la MK3 (ou votre projet préféré) dans les commentaires, toute l’équipe sera vraiment heureuse de le lire ! 🙂

Bonne impression !