Il est temps pour une autre mise à jour au sujet de l’Original Prusa XL et il y a beaucoup de choses passionnantes à partager. Nous avons considérablement augmenté notre capacité de production (et nous l’améliorerons encore davantage dans les semaines à venir), afin que nous puissions enfin commencer à traiter plus rapidement de grandes parties de la file d’attente de précommande et partager un tableau d’expédition. Nous apportons également le firmware Input Shaper à la XL, de sorte que non seulement l’imprimante est désormais incroyablement rapide, mais elle est également extrêmement efficace lors des changements de couleur. Changer de matériau ne prend que quelques secondes. De plus, nous avons la première alpha de PrusaSlicer2.7 de prête avec d’importantes nouvelles fonctionnalités. Allons-y !

Informations sur la livraison de la XL

La semaine dernière, nous avons partagé une nouvelle passionnante pour toute personne ayant une précommande de XL : nous avons enfin surmonté les problèmes de chaîne d’approvisionnement et embauché près de 100 nouvelles personnes – c’était absolument essentiel puisque la construction d’une seul XL prend presque trois fois plus de temps que la MK4. C’est notre imprimante 3D la plus complexe à ce jour. Quoi qu’il en soit, nous disposons de suffisamment de composants et de capacité de production, ce qui nous permet de traiter désormais les précommandes beaucoup plus rapidement.

Juste pour éviter toute confusion : nous expédions les XL régulièrement depuis plusieurs mois maintenant, mais l’augmentation récente de notre capacité de production nous permet de réduire beaucoup plus rapidement la file d’attente des précommandes.

Infos pour les précommandes à partir de 2021

Nous prévoyons d’expédier la majorité des précommandes (la plupart ont été effectuées en 2021) d’ici la fin de l’année. Pour terminer la préparation du tableau d’expédition très demandé, nous allons basculer toutes les précommandes restantes de 2021 vers des commandes régulières le lundi 23 octobre, afin que vous puissiez compléter la vôtre – toutes les informations seront disponibles dans un e-mail. Une fois vos commandes confirmées, nous disposerons de suffisamment de données pour publier le tableau d’expédition du lot actuel de précommandes en cours de traitement.

Une fois l’e-mail reçu, vous disposerez de 2 semaines pour finaliser votre commande. La raison du délai est que nous puissions préparer le tableau d’expédition. Auparavant, certaines personnes convertissaient la commande immédiatement, d’autres en deux mois, ce qui nous empêchait de faire des prévisions précises. Si vous finalisez votre commande avant la date limite, votre imprimante sera placée dans la file d’attente en fonction de la date de votre précommande initiale (vous pourrez la vérifier dans le tableau d’expédition). Si vous décidez de finaliser votre commande plus tard, votre imprimante sera placée dans la file d’attente d’expédition en fonction de votre date de paiement. Vous recevrez votre imprimante un peu plus tard, mais toujours avec une priorité élevée. Vous n’avez pas à vous soucier de passer à la toute fin de toute la file d’attente de précommande.

Avec cette mesure, nous voulons nous assurer que les clients qui ont commandé une imprimante à 1 tête d’outil et ont ensuite mis à niveau leur commande vers une variante différente ne doubleront pas les clients ayant commandé des machines à 2 et 5 têtes d’outils. Honnêtement, nous ne nous attendions pas à ce que le nombre de commandes mises à niveau (d’un seul outil à cinq outils) soit aussi élevé. Je suis désolé pour les problèmes que cela a causés, je pense que le nouveau système devrait être beaucoup plus juste pour tout le monde.

Précommandes de 2022 et 2023

Et autre bonne nouvelle : nous serons en mesure d’expédier toutes les précommandes créées en 2022 d’ici fin avril de l’année prochaine et le reste (2023 jusqu’à présent) d’ici fin juin. Nous continuerons à traiter les précommandes restantes de la même manière – nous prendrons un grand nombre de précommandes et préparerons un tableau d’expédition à jour. Une fois que nous l’aurons traité, nous passerons au lot suivant.
Nous nous excusons pour les retards et les désagréments qu’ils ont causés ! Nous sommes sur la bonne voie pour traiter toutes les précommandes de XL restantes et la situation devrait encore s’améliorer dans un avenir proche.

Mises à niveau pour la XL

Nous finalisons également les préparatifs pour les mises à niveau de têtes d’outil pour la XL. Une fois que nous aurons terminé le lot 2021 de précommandes de XL, nous aurons suffisamment de capacité pour commencer la fabrication et l’expédition des mises à niveau vers les machines à 2 et 5 têtes. Notre plan actuel est de démarrer la production des mises à niveau en janvier 2024.

Une autre mise à niveau majeure est la tant attendueenceinte pour la XL. Nous finalisons actuellement les unités de pré-production et nous serons prêts à dévoiler l’enceinte dans les prochains mois. Elle combinera un capot supérieur transparent avec un pare-brise rétractable. Restez à l’écoute pour plus d’informations !

Input Shaper

La préparation de l’implémentation de l’Input Shaper pour la XL nous a pris un peu plus de temps que prévu initialement, mais le firmware alpha avec IS est enfin là. Pour vous donner un aperçu : toutes nos imprimantes 3D 32 bits fonctionnent sur une version modifiée du firmware FreeRTOS avec certains éléments du firmware Marlin utilisés pour la planification des mouvements. Nous connaissons ce système par cœur et lorsque nous avons lancé le projet de plateforme Buddy il y a plusieurs années, c’était le choix parfait.

Après le décollage de Klipper, l’Input Shaper est devenu l’un des sujets les plus discutés dans la communauté de l’impression 3D. Nous voulions également l’inclure, nous avons donc commencé avec l’Original Prusa MK4 car c’était l’option la plus simple. Au lieu de placer une Raspberry Pi sur la carte mère de la MK4, nous avons décidé de nous inspirer de Klipper et d’écrire l’intégralité du système d’Input Shaper directement pour notre chipset STM32, afin que vous n’ayez pas besoin d’acheter de cartes d’extension supplémentaires. Tous les calculs sont effectués directement par le processeur de l’imprimante.

Nous ne nous précipitons pas pour installer Linux sur nos machines – notre principale préoccupation est la sécurité. Il est plutôt effrayant de voir l’industrie se tourner rapidement vers des distributions Linux créées à la hâte. Je crains que nous puissions arriver au point où la communauté commencera à réfléchir à une sécurité adéquate seulement après que quelque chose se soit vraiment mal passé. Les imprimantes 3D sont désormais à la fois des ordinateurs puissants connectés à internet avec accès à votre réseau local et également des machines dotées de pièces mobiles et chauffées pouvant être pilotées à distance. Notre plateforme embarquée est beaucoup plus sûre à cet égard.

Adapter la technologie de l’Input Shaper pour une imprimante à la cinématique complètement différente, la XL, était un peu un défi. Nous avons dû modifier le planificateur intégré afin qu’il puisse fonctionner avec un ensemble d’axes X et Y complètement différent. Cela semble être un changement relativement simple, mais il était en fait absolument essentiel de bien le faire. Nous avons également dû adapter le precise stepping et la pressure advance à la XL, c’était donc une combinaison de plusieurs fonctionnalités majeures qui devaient être réunies.

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La XL est une imprimante très robuste qui peut atteindre des vitesses très élevées et elle est plus susceptible d’utiliser des diamètres de buse plus grands (vous voulez une impression énorme et rapide et une buse large est l’un des meilleurs moyens d’y parvenir). Cependant, l’Input Shaper de la XL doit effectuer plus de calculs que la version MK4. Avec des impressions massives qui peuvent prendre de longues heures, les exigences en matière de fiabilité à long terme ont considérablement augmenté. Vous ne pouvez pas simplement exécuter une impression de test pendant quelques heures et considérer le système comme stable alors qu’il pourrait y avoir des problèmes pouvant survenir qu’après plus de 20 heures. Le débogage de tels problèmes prend beaucoup de temps et c’est l’une des raisons pour lesquelles la préparation du firmware Input Shaper de la XL a pris plus de temps.

La XL est également une machine beaucoup plus complexe dotée d’un changeur d’outils ultra-rapide. Chacune des têtes d’impression est dotée de sa propre électronique avec un firmware simplifié et surcharger le processeur principal avec les calculs d’Input Shaper pourrait conduire à une communication moins fiable entre les périphériques ModBus.

Cependant, la première version Input Shaper alpha est maintenant disponible et vous pouvez la tester – consultez notre Github et nos notes de version avant de la flasher. Nous espérons que vous apprécierez les vitesses beaucoup plus rapides qui vont de pair avec un changement d’outil (de matériau) ultra rapide et une impression multi-matériaux à faibles déchets qui utilise seulement une petite tour d’amorçage à côté de l’objet imprimé, vous n’avez donc pas à vous soucier des restes de filament qui s’accumulent autour de votre imprimante. Cela transforme la XL en la solution multi-matériaux la plus rapide et la plus efficace disponible.

Modèle PETG avec supports PLA

Annuler un objet directement depuis le menu de l’imprimante

Et je tiens à souligner un autre nouvel ajout génial au firmware – la très demandée fonction Annuler un Objet (Cancel Object) qui est intégrée directement dans le menu LCD de l’imprimante. Veuillez noter que cette fonction nécessite le nouveau firmware 5.1.0-alpha2 et PrusaSlicer 2.7.0-alpha1 ou plus récent.

Pendant une impression en cours, vous pouvez ouvrir le menu Régler (Tune) et sélectionner un objet dont vous souhaitez arrêter l’impression (mais vous pouvez également la reprendre, au cas où vous sélectionneriez le mauvais objet). L’impression continuera très bien, mais toutes les commandes G-code liées à l’objet annulé seront ignorées. C’est parfait pour les cas où vous imprimez plusieurs objets à la fois et où l’un d’eux se détache sur la plaque de construction. Avec cette nouvelle fonctionnalité, vous pouvez terminer une telle impression en toute sécurité.

Mais que se passe-t-il si vous avez une longue liste d’instances portant le même nom dans votre G-code ? Il existe également une option pratique dans ce cas : la fonction « Annuler l’objet en cours » (Cancel Current). Attendez simplement que la buse atteigne l’objet que vous souhaitez arrêter d’imprimer, puis sélectionnez « Annuler l’objet en cours » (Cancel Current). Cela est beaucoup plus pratique que de faire défiler une longue liste d’instances portant le même nom à l’écran.

Cette fonctionnalité a été inspirée par le célèbre plugin Octoprint Cancel Object, développé par Paul Paukstelis – un grand merci à Paul pour tous les efforts et pour avoir rendu le projet open-source ! Nous avions Paul en tant qu’invité sur notre podcast Prusa, alors si vous voulez en savoir plus sur son travail, jetez-y un œil !

Slicer doté de tonnes de nouvelles fonctionnalités – introduction du .BGCODE et prise en charge des SVG

Nous venons de publier la première version alpha de PrusaSlicer2.7 qui regorge de nouvelles fonctionnalités. PrusaSlicer a un excellent historique, donc même les versions alpha sont plutôt bonnes et elles conservent tous les paramètres dans un dossier séparé, vous pouvez donc les tester sans aucun souci. Vous pouvez télécharger la version directement depuis notre Github et découvrir les nouvelles fonctionnalités.

Nous avons implémenté un certain nombre de nouvelles technologies qui améliorent considérablement les transferts de G-codes sur le réseau, ce qui permet une impression quasi instantanée. Cela implique un certain nombre de choses, alors allons-y étape par étape.

Tout d’abord, le format de G-code actuel (celui que presque tout le monde utilise) est plutôt inefficace en termes d’espace. D’un côté, ces G-codes sont faciles à lire et à interpréter, mais l’inconvénient est que les données ne sont pas enregistrées efficacement, ce qui entraîne une taille de fichier importante. La solution évidente consiste à compresser le fichier d’une manière ou d’une autre. Cependant, les imprimantes 3D fonctionnent généralement sur du matériel spécialisé optimisé pour l’impression, et non pour le décompression de fichiers ZIP fortement compressés. Plusieurs solutions au problème ont été proposées par les membres de notre communauté, comme l’encodage Meatpack (en utilisant le fait que le jeu de caractères d’un G-code typique est très limité) ou l’ algorithme de compression heatshrink avec de très faibles besoins en mémoire.

À partir de la nouvelle version de PrusaSlicer, nous proposons un nouveau standard pour un format de G-code binaire pour encoder et compresser les fichiers G-code ASCII (voir la spécification). Le format est flexible et l’encodage et la compression de chaque bloc sont variables. Nous fournissons également une bibliothèque libbgcode qui contient les routines pour convertir un G-code ASCII en binaire et vice versa.

La différence de taille entre les G-codes ASCII (les « standards ») et les G-codes binaires dépendra du contenu du fichier. Cependant, nos tests montrent que l’utilisation de G-codes binaires réduit la taille du fichier de 70 % en moyenne.

Nous réduisons encore la taille du fichier avec les G-codes G2 et G3 (déplacements en arc et en cercle), qui est une fonctionnalité basée sur ArcWelderLib de FormerLurker qui est aussi l’auteur du célèbre plugin OctoPrint ArcWelder – nous aimerions exprimer un immense merci à FormerLurker pour tous les efforts investis dans le projet et pour l’avoir rendu open-source !

La fonction est activée par défaut, mais si vous souhaitez jouer avec, la fonction Raccord d’arc peut être trouvée dans les Réglages d’impression -> Avancé -> Découpage -> Raccord d’arc. La réduction de la taille du G-code dépendra fortement du contenu du G-code, mais cela peut, en général, économiser des dizaines de pourcents d’espace. De plus, il y a également le support du nouveau format d’image QOI peu encombrant pour les vignettes.

Ainsi, lorsque nous combinons l’encodage binaire du G-code avec le Raccord d’arc (décrit ci-dessus), la taille du fichier est considérablement réduite. Vous pouvez consulter le tableau suivant pour un meilleur aperçu.

La prise en charge du nouveau fichier .bgcode est désormais implémentée dans PrusaSlicer, y compris son exportation, le chargement des configurations, la prévisualisation du G-code et également des associations de fichiers fonctionnelles. L’option de G-code binaire peut être trouvée dans Réglages d’impression -> Options de sortie -> Exporter sous forme de G-code binaire (elle est activée par défaut). Des options pour convertir les G-codes ASCII en binaires (ou inversement) ont été ajoutées dans le menu Fichier.

Veuillez noter que vous devez mettre à jour le firmware de votre imprimante (au moins 5.1.0-alpha2) pour vous assurer qu’elle prend en charge le nouveau format de fichier .bgcode !

Prise en charge des SVG

Une fonctionnalité importante qui pourrait facilement se perdre dans cette version est la prise en charge des SVG (Scalable Vector Graphics – le format d’image vectorielle le plus courant) dans PrusaSlicer, qui peuvent être facilement embossés et imprimés en 3D ! Je pense que cela facilitera grandement l’impression de divers logos et QR codes. C’est une autre tâche que vous pouvez désormais effectuer directement dans le slicer, plutôt que d’avoir à ouvrir un logiciel de CAO. Et tout comme l’outil Texte, la texture SVG embossée peut suivre des surfaces courbes en cochant une simple case. Cela est vraiment génial et j’ai hâte de voir ce que la communauté va en faire ! 🙂

Le SVG importé peut être utilisé comme une pièce autonome, mais vous pouvez également l’embosser, la couper ou même l’utiliser comme modificateur. Lors de l’enregistrement du 3MF, vous pouvez choisir de conserver le SVG modifiable ou d' »intégrer » les modifications apportées à votre modèle.

Transferts réseau plus rapides avec le streaming

Nous sommes conscients du fait que les vitesses de transfert réseau des MK4 et XL laissaient à désirer. Nous nous sommes concentrés sur l’optimisation du code réseau et avons apporté deux améliorations majeures.

La première est la réduction massive de la taille du fichier G-code comme décrit ci-dessus. L’autre amélioration majeure est le streaming de G-code, à peu près comme YouTube. Vous n’avez pas besoin de télécharger l’intégralité du fichier avant de pouvoir commencer à l’utiliser. Au lieu de cela, l’imprimante télécharge une petite partie du G-code, démarre l’impression et le reste du G-code sera téléchargé pendant l’impression elle-même.

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Nous avons préparé une solution robuste qui prend en compte divers problèmes potentiels, tels que des vitesses de transfert lentes ou des échecs de connexion, afin que vous n’ayez pas à craindre de perdre votre impression à moitié terminée.

Désormais, lorsque vous téléchargez un G-code sur le stockage central de PrusaConnect, vous pouvez facilement le distribuer entre vos imprimantes 3D et commencer à imprimer instantanément. Vous pouvez travailler avec ces G-codes dans le gestionnaire de fichiers habituel, les trier par nom ou type d’imprimante/filament, les renommer ou les supprimer, ou les télécharger à nouveau sur l’ordinateur. Si le fichier d’impression dispose d’un aperçu disponible, il sera affiché dans une liste de fichiers. N’importe lequel de vos fichiers d’impression, stockés sur la carte SD ou sur la clé USB de votre imprimante, peut également être imprimé à partir de l’interface web.

Comme vous pouvez le voir sur le graphique ci-dessus, le plus gros G-code (le moteur V6) prenait à l’origine environ 36 minutes à télécharger avant que l’imprimante puisse commencer à imprimer. Avec la nouvelle option de streaming de G-code, l’impression démarre en seulement 25 secondes.

Autres améliorations pour lutter contre les cheveux d’ange

Plusieurs utilisateurs ont attiré notre attention sur le fait qu’ils sont confrontés à des situations dans lesquelles les impressions 3D de la XL présentent des cheveux d’ange visibles : la XL est une imprimante 3D grand format et la combinaison d’une buse de 0,6 mm et de longs mouvements de déplacement peut avoir comme effet secondaire des cheveux d’ange. Cependant, nous travaillons à remédier à ces situations.

À l’heure actuelle, l’une des suggestions de la communauté est de réduire les températures d’impression afin de réduire les risques de cheveux d’ange. Cela aide et nous avons déjà légèrement réduit les températures dans nos profils officiels. Cependant, il n’est pas conseillé de les descendre trop bas, car des températures plus basses pourraient affecter la résistance globale de l’impression.

Nous avons développé une autre solution – un ensemble spécial de mouvements pour l’imprimante qui réduit considérablement l’apparition de cheveux d’ange. Nous prévoyons que cet ajout (appelé Z-hop ramping) sera disponible dans PrusaSlicer dans les prochaines semaines. Et cela contribuera à réduire les cheveux d’ange sur toutes les machines, pas seulement sur la XL !

Cela dit, il y a autre chose qui doit être souligné – l’humidité du filament joue un rôle majeur dans la création de cheveux d’ange, en particulier avec les impressions multi-outils sur la XL. Peu importe la façon dont nous ajustons les profils ou les nouvelles fonctionnalités que nous introduisons, une fois que votre filament absorbe trop d’humidité de l’air, il commencera très probablement à créer des cheveux d’ange. Donc avant de commencer à ajuster les profils d’impression, assurez-vous que vos filaments sont secs.

Pour conclure

Donc juste pour conclure : nous avons accéléré la production de la XL, afin de pouvoir enfin envoyer le reste des précommandes dans les mois à venir. Nous apportons un firmware et PrusaSlicer mis à jour pour rendre la XL plus rapide, plus fiable et plus efficace. Et grâce à la compression du G-code et aux optimisations de streaming en place, vous pouvez démarrer des tâches d’impression réseau en quelques secondes seulement.

Et les packages de mise à niveau multi-outils et l’enceinte sont à nos portes. 🙂

Bonne impression !